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Mars
Violences scolaires
Par Gaëlle Meilhac • Publié le 21/03/2019
Par Gaëlle Meilhac • Publié le 21/03/2019
La semaine dernière, l'infirmière scolaire du collège d'Ambazac est intervenue dans une classe pour parler des violences scolaires à la demande de l'école.
La classe a été partagée en deux groupes. Le premier est resté avec l'infirmière le mardi pour visionner des vidéos sur des situations pouvant être vécues à l'école: "Les petits citoyens" (www.nonauharcelement.education.gouv.fr/ressources/les-petits-citoyens-ca-va-trop-loin/) pendant que le second groupe allait jouer des saynètes de la vie quotidienne à l'école. Ils pouvaient jouer le rôle de l'enfant violent, de l'adulte, de l'enfant calme. Le jeudi suivant, les deux groupes étaient inversés.
Cette intervention avait pour but de faire réagir les élèves sur des situations de violences et les réactions à adopter en pareil cas, mais aussi à les faire réfléchir sur leur propre comportement à l'école et sur leur réaction en cas de situations violentes. Elle permettait aussi de faire prendre conscience que la violence n'est pas que physique, mais qu'elle peut être aussi verbale au travers de mots grossiers, insultants, familiers, méprisants et des moqueries.
L'objectif était bien sûr d'éviter les situations de violence, de ne surtout pas répondre à la violence par la violence mais d'en parler tout de suite à un adulte qui se doit de gérer la situation.
La classe a été partagée en deux groupes. Le premier est resté avec l'infirmière le mardi pour visionner des vidéos sur des situations pouvant être vécues à l'école: "Les petits citoyens" (www.nonauharcelement.education.gouv.fr/ressources/les-petits-citoyens-ca-va-trop-loin/) pendant que le second groupe allait jouer des saynètes de la vie quotidienne à l'école. Ils pouvaient jouer le rôle de l'enfant violent, de l'adulte, de l'enfant calme. Le jeudi suivant, les deux groupes étaient inversés.
Cette intervention avait pour but de faire réagir les élèves sur des situations de violences et les réactions à adopter en pareil cas, mais aussi à les faire réfléchir sur leur propre comportement à l'école et sur leur réaction en cas de situations violentes. Elle permettait aussi de faire prendre conscience que la violence n'est pas que physique, mais qu'elle peut être aussi verbale au travers de mots grossiers, insultants, familiers, méprisants et des moqueries.
L'objectif était bien sûr d'éviter les situations de violence, de ne surtout pas répondre à la violence par la violence mais d'en parler tout de suite à un adulte qui se doit de gérer la situation.
Bravo